Dans la clairière d'une forêt obscure,
Sous la lune pâle, brille une figure pure.
Des cuisses entrelacées, source de chaleur,
Où les désirs s'épanouissent sans peur.
Dans la nuit, les sens s'éveillent en envie,
Cherchant dans chaque souffle une mélodie.
Sur la colline, où la brise caresse,
Les émotions s'élèvent, pleines d'ivresse.
Le ruisseau murmure secrets et plaisirs,
Tandis que les corps s'unissent, dévoués à s'offrir.
Les baisers au cou, les étreintes tendres,
Dans cet éden caché, où rien ne peut nous atteindre.
Les caresses s'entremêlent, douces et sincères,
Comme les feuilles qui dansent dans les airs.
Dans cette nuit sans fin, nos âmes s'unissent,
Explorant les recoins où nos désirs fleurissent.
Chut, ne leur dites pas que je les ai surpris
m'en allant bien vite, les laissant à leurs caresses
Chut, ne leur dites pas que je me suis enfuis,
les laissant vivre leur désir peuplé de promesses.
Je ne vais pas te dénoncer puisque tu les as laissés à leurs ébats.
RépondreSupprimerBises
Voilà une poésie joliment sensuelle. Un hymne aux désirs assouvis sous la protection de la nature.
RépondreSupprimerBisous